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Analyse de la cinétique de l’estradiol chez les patientes séropositives pour le VIH lors de la stimulation ovarienne pré-FIV/ICSI (Kinetics analysis of estradiol in HIV-infected patients stimulated for IVF/ICSI) | ||
Sun, Sophie - (2017-06-30) / Universite de Rennes 1 - Analyse de la cinétique de l’estradiol chez les patientes séropositives pour le VIH lors de la stimulation ovarienne pré-FIV/ICSI Langue : Anglais Directeur de thèse: Ravel, Célia Thématique : Médecine et santé | ||
Mots-clés : VIH, stimulation ovarienne, estradiol, AMP, trithérapie, VIH (virus), Stimulation de l'ovulation, Procréation médicalement assistée , Estradiol, Polychimiothérapie Résumé : Des études ont décrit des résultats en AMP peu favorables lorsque la femme est infectée par le VIH par rapport aux hommes infectés. L’objectif principal de cette étude rétrospective était de comparer la cinétique de l’estradiol (E2) lors de la stimulation ovarienne de 63 patientes séropositives pour le VIH par rapport à 1194 patientes séronégatives entre 2008 et 2015 au CHU de Rennes. Après ajustement sur plusieurs critères (âge, consommation de tabac, type de protocole, type d’infertilité, IMC, dose initiale de gonadotrophines et taux d’hormone anti-Müllerien), aucune différence significative n’est retrouvée sur la cinétique de l’E2 entre les patientes séropositives et séronégatives. Cependant, des doses plus importantes de gonadotrophines étaient administrées chez les patientes VIH. En conclusion, notre étude ne montre pas d’impact négatif du virus sur la stimulation ovarienne. Résumé (anglais) : Some studies have reported unfavorable ART outcome when women are infected by HIV compared to infected men. The main objective of this retrospective study was to compare the kinetics of estradiol (E2) in the ovarian stimulation of 63 HIV-positive patients compared to 1194 seronegative patients between 2008 and 2015 at Rennes University Hospital. After adjusting for different criteria (age, tobacco consumption, type of protocol, type of infertility, BMI, initial dose of gonadotropins and anti-Müllerian hormone level), there was no significant difference in the kinetics of E2 between HIV-positive patients and HIV-seronegative patients. However, higher doses of gonadotropins were administered in HIV patients. In conclusion, our study does not show any negative impact of the virus on ovarian stimulation. Identifiant : rennes1-ori-wf-1-9675 |
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