Evaluation de la tolérance des antipsychotiques chez les patients ayant une déficience intellectuelle comparativement à des patients souffrant de schizophrénie sans déficience intellectuelle associée (Safety's evaluation of the antipsychotic in patients with intellectual disability versus patients with schizophrenia withou intellectual disability)

Fritsch, Déborah - (2022-10-13) / Universite de Rennes 1 - Evaluation de la tolérance des antipsychotiques chez les patients ayant une déficience intellectuelle comparativement à des patients souffrant de schizophrénie sans déficience intellectuelle associée Langue : Français Directeur de thèse:  Lozachmeur , Clément Thématique : Médecine et santé

Accès à la ressource :  https://ged.univ-rennes1.fr/nuxeo/site/esupversion... Mots-clés : Déficience intellectuelle, schizophrénie, antipsychotique, tolérance, LUNSERS, Schizophrénie, Neuroleptiques -- Effets secondaires‎, Déficience intellectuelle Résumé : La déficience intellectuelle est fréquente, elle représente 1% de la population générale. La prévalence des troubles du comportement dans cette population est de 20 à 50% et les antipsychotiques représentent la première classe thérapeutique prescrite pour gérer ces troubles. Pourtant c’est une population vulnérable. Cette étude portait à évaluer si ces patients étaient susceptibles d’avoir des effets secondaires plus sévères dû aux traitements par antipsychotiques que les patients souffrant de schizophrénie. La présence d’effets secondaires a été évaluée à l’aide d’une échelle d’auto-évaluation, la LUNSERS. Il a été mis en évidence des scores totaux à la LUNSERS significativement plus élevés chez les patients souffrant de schizophrénie. Ces résultats sont à remettre en perspective aux vues de nombreux biais que comporte cette étude. En effet, ces résultats sont influencés par un biais de recrutement important parmi la population déficiente intellectuelle. De plus, cette étude met en lumière une grande suggestibilité dans les symptômes parmi les patients souffrant de schizophrénie, ce qui influence fortement les réponses aux questionnaires et donc les scores totaux. Cette étude est une première ouverture vers ce sujet et ouvre la porte à d’autres études plus poussées pour tenter de comprendre la vulnérabilité des patients déficients intellectuels face à cette stratégie thérapeutique dans le management des troubles du comportement. Résumé (anglais) :  Identifiant : rennes1-ori-wf-1-17527

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