Version imprimable |
Uniformisation de la prise en charge de la néphropathie du purpura rhumatoïde dans le Grand Ouest de la France, quelles répercussions sur les séquelles rénales ? (Standardization of the management of rheumatoid purpura nephropathy in the West of France, what are the repercussions on the renal sequelae?) | ||
salmon, Margaux - (2022-04-27) / Universite de Rennes 1 - Uniformisation de la prise en charge de la néphropathie du purpura rhumatoïde dans le Grand Ouest de la France, quelles répercussions sur les séquelles rénales ? Langue : Français Directeur de thèse: Taque, Sophie Thématique : Médecine et santé | ||
Mots-clés : Néphropathie, Purpura rhumatoïde, Ponction Biopsie Rénale, Enfants, Séquelles, Purpura rhumatoïde , Maladies rénales , Rein, Complications (médecine) Résumé : Introduction : Le purpura rhumatoïde est la vascularite la plus fréquente chez l’enfant dont l’atteinte rénale détermine le pronostic. Aucun protocole national n’existe à ce jour concernant la prise en charge. Un protocole a été rédigé sur le grand ouest de la France en 2011 afin d’uniformiser les pratiques. Objectifs : L’objectif principal est d’évaluer les séquelles rénales avec une médiane de suivi de 2 ans depuis la mise en place de ce protocole. Les objectifs secondaires sont d’évaluer les différentes prises en charges thérapeutiques et diagnostiques. Méthode : Inclusion de tous les enfants de 2006 à 2018 ayant présenté une néphropathie due au purpura rhumatoïde suivis dans les CHU de Rennes, Nantes, Tours, Angers et Brest. Résultats : 169 patients ont été inclus, dont 104 respectant le protocole et 65 hors protocole. Les séquelles à 2 ans de suivi concernent 27% des patients sans différence significative selon l’application ou non du protocole. Une diminution significative de 26.1 % des ponctions biopsies rénales est observée dans le groupe respectant le protocole. Cette dernière est réalisée avec un délai médian inférieur à 30 jours. Conclusion : Le protocole réalisé par le grand Ouest a permis une uniformisation des pratiques sans conséquences délétères à 2 ans de suivi et une diminution des ponctions biopsies rénale. Il est en accord avec les recommandations du KDIGO et des experts européens. En revanche, au vu des études récentes et de la physiopathologie, les immunosuppresseurs hors corticothérapies pourraient être intégrés plus précocement dans les formes sévères Résumé (anglais) : Identifiant : rennes1-ori-wf-1-16505 |
Exporter au format XML |