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Place du médecin généraliste morbihannais dans le dépistage et le traitement de l'hépatite C (Place of morbihan general practitioner in the screening and médication of the hepatits C) | ||
Masset, Alexis - (2021-12-07) / Universite de Rennes 1 - Place du médecin généraliste morbihannais dans le dépistage et le traitement de l'hépatite C Langue : Français Directeur de thèse: Bardou-Jacquet, Edouard Thématique : Médecine et santé | ||
Mots-clés : Hépatite C, dépistage, traitement, médecins généralistes, EPCLUSA, MAVIRET, Médecins généralistes, Hépatite C, Dépistage Résumé : Dans le cadre du plan d’éradication des hépatites d’ici 2030 émis par l’OMS en 2017, l’AFEF propose de donner une place centrale au médecins généralistes français pour le dépistage et le traitement de l’hépatite C. Il n’existe pas, en 2021, d’étude française interrogeant les médecins généralistes à propos du dépistage, de la prescription des Antiviraux à Action Directe et des freins potentiels à cette prise en charge. L’objectif de cette étude est d’évaluer, auprès des médecins généralistes, s’il est envisageable de les intégrer comme acteur de premier rang dans la prise en charge de l'hépatite C. Méthodes : Étude monocentrique, transversale, prospective, quantitative, menée par un questionnaire auto administré sur internet auprès des médecins généralistes du Morbihan entre juin et août 2021. Résultats : Parmi les 99 médecins inclus, 54% exercent depuis moins de 10 ans, en collaboration pour 64% d’entre eux, avec une activité semi rurale dans 53% des cas. 95% pratiquent le dépistage chez tous les patients ayant une perturbation du bilan hépatique et 87% pratiquent un dépistage centré sur les facteurs de risques. 65% des médecins interrogés ne connaissent pas les traitements actuellement utilisés dans le cadre de l’hépatite C. 31% savent qu’ils peuvent prescrire les AAD et 58% se disent prêts à le faire. 64% estiment que le frein principal à la prescription des AAD est le manque de formation. Conclusion : Les médecins généralistes sont dans l’ensemble bien conscients des facteurs de risques et le bilan initial liés à l’hépatite C. Il apparaît cependant que les traitements, leurs indications et leurs modalités de prescriptions sont mal connues. Il est, actuellement, difficilement envisageable de les considérer comme un acteur principal de la prise en charge de l’hépatite C comme le souhaiteraient les sociétés savantes de gastroentérologie. Résumé (anglais) : Identifiant : rennes1-ori-wf-1-16141 |
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