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Le droit au remords vers la médecine générale : quels en sont les enjeux ? (The right of speciality changing toward general pratice : what is at stake ? ) | ||
Gauthier, Séverine - (2017-12-19) / Universite de Rennes 1 - Le droit au remords vers la médecine générale : quels en sont les enjeux ? Langue : Français Directeur de thèse: Banâtre , Agnès Thématique : Médecine et santé | ||
Mots-clés : Médecine de famille, enseignement médical spécialisé, étudiant, médecine, internat et résidence, choix de carrière, identité professionnelle, médecine générale, droit au remords., Repentir , Étudiants--Orientation professionnelle, Enseignement médical , Médecins généralistes Résumé : Contexte : Différents parcours permettant d’accéder à l’internat de médecine générale ont été identifiés, allant du parcours linéaire classique animé par la vocation, au plus « incertain » au sein duquel il est retrouvé des internes exerçant leur droit au remords. Ce droit permet à un interne de modifier son choix initial de spécialité avant la fin de son 4e semestre d’internat. Objectif : Identifier les enjeux et le parcours d’un droit au remords effectué vers la médecine générale. Méthode : Une étude qualitative par entretiens individuels semi-directifs a été réalisée avec treize médecins ayant effectué l’internat à Rennes. Analyse des données par théorisation ancrée. Résultats : Le premier choix de spécialité était influencé par le contexte familial, l’environnement socio-professionnel et le parcours étudiant dominé par les spécialités hospitalières. Mais le constat de conditions d’exercice inadéquates dans cette première spécialité les a conduits à exercer un droit au remords vers la médecine générale. Le cheminement du droit au remords était complexe et douloureux mais permettait de trouver et d’affirmer son identité professionnelle. L’exercice de la médecine générale a permis un épanouissement des médecins. Conclusion : Le choix d’une spécialité à l’Examen Classant National (ECN) repose entre autres sur sa notoriété. Poursuivre l’intégration de la médecine générale dans le second cycle aiderait les étudiants à s’identifier au groupe professionnel des médecins généralistes. La préparation des étudiants à l’ECN pourrait notamment impliquer davantage d’enseignants de médecine générale. Résumé (anglais) : Identifiant : rennes1-ori-wf-1-10571 |
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