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Evaluation des pratiques professionnelles des médecins généralistes d’Ille-et-Vilaine sur la prise en charge de la pyélonéphrite de l’enfant : enquête quantitative par auto-questionnaires individuels (Professional practice assessment of the general practitioners of Ille-et-Vilaine on the management of the febrile urinary tract in children: quantitative survey by self-administered questionnaires) | ||
Cabaret, Mickaël - (2017-11-10) / Universite de Rennes 1 - Evaluation des pratiques professionnelles des médecins généralistes d’Ille-et-Vilaine sur la prise en charge de la pyélonéphrite de l’enfant : enquête quantitative par auto-questionnaires individuels Langue : Français Directeur de thèse: Ryckewaert, Amélie Thématique : Médecine et santé | ||
Mots-clés : Pyélonéphrite de l’enfant, Evaluation de pratiques professionnelles, Médecine générale, Pyélonéphrite chez l'enfant, Recommandations pour la pratique clinique, Soins médicaux--Évaluation, Médecins généralistes Résumé : INTRODUCTION : En août 2014, de nouvelles recommandations sur la prise en charge de la pyélonéphrite aiguë (PNA) de l’enfant ont été publiées. Environ 2/3 des PNA de l’enfant sont traitées en médecine générale. Le but de notre étude était d’évaluer la prise en charge ambulatoire de la PNA de l’enfant et de déterminer les difficultés à sa prise en charge ambulatoire. MATERIEL ET METHODES : Il s’agit d’une étude descriptive, observationnelle, transversale. De septembre 2016 à mars 2017, les médecins généralistes d’Ille-et-Vilaine ont été interrogés par auto-questionnaires anonymes sur la prise en charge de la PNA de l’enfant et sur les difficultés de cette prise en charge. RESULTATS : 72,2% des médecins ne réalisent pas de bandelette urinaire (BU) pour les enfants de moins de 2 ans. En cas de PNA sans signe de gravité, 45,2% des médecins prescrivent du céfixime PO et 26,2% de la ceftriaxone IV ou IM. En cas de PNA récidivantes, 43,7% des médecins prescrivent une cystographie rétrograde, 92,9% demandent une consultation spécialisée et 4% prescrivent une antibioprophylaxie. Seulement 7,9% des médecins connaissent les dernières recommandations. La principale limite à la réalisation de BU est « la difficulté de recueil des urines avant 2 ans » (97,6%). La principale difficulté à la prise en charge de la PNA en ambulatoire est « l’altération de l’état général de l’enfant» (89,7%). DISCUSSION : Il existe un contraste entre le faible taux de médecins qui connaît les dernières recommandations et la bonne connaissance de ceux-ci concernant la prise en charge diagnostique et thérapeutique de la PNA de l’enfant. Le dépistage de la PNA par la BU est à promouvoir même si la difficulté de recueil des urines avant l’acquisition de la propreté par l’enfant limite son usage. Une majorité de médecins estime que la PNA du nourrisson relève du milieu hospitalier. Résumé (anglais) : Identifiant : rennes1-ori-wf-1-10189 |
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